Tandis que de Porto Vecchio,
En Corse où il fait toujours beau,
S’est élancé le Tour de France,
Devant des spectateurs en transe,
Sous mes yeux pleure le ciel bistre
Au dessus de ce mur sinistre,
Et je pédale en ayant mal
Par ce temps d’été hivernal.
Comme ils sont beaux tous ces cyclistes
Admirés par les journalistes !
Ils sont gonflés à l’EPO,
C’est pour ça qu’ils montent si haut.
Moi qui n’ai pas de cocaïne
Je n’attends que mes endorphines.
Et en rimant en plus....trop forte!
RépondreSupprimer