Berlin conserve mes morceaux,
Souvenirs d’un temps soviétique.
J'en ai vu passer, des vaisseaux,
Lorsque je barrais l’Atlantique.
À mon pied on voit le maçon
Se méfier car j’ai des oreilles.
On me perce quand j’ai du son.
Rase-moi, je te le conseille.
Chante-moi tes lamentations,
Par l’escalade atteins mon faîte,
Devant mon incompréhension
Tape-toi contre moi la tête !
— Mais, mur, te voilà bien bavard
D’où te vient cette impertinence ?
Tais-toi donc vieux mur pleurnichard
Redeviens celui du silence !
Super !! As usual ! ;o)
RépondreSupprimerN.
Magnifique filigrane!
RépondreSupprimer(y) comme on dit :-))