Le réacteur 3 de la centrale de Fukushima |
Mars 2011
Il a été un tracas proche
Où le petit écran crasha
Puis te harcela. Raconte,
Ah, narre, ça éclipse tout.
Chacun reposait. Alerte !
L’écorce patina, s’heurta
Ça percuta l’aéré Shinto ;
Pis, ta terre chancela. Où
S’accroupir, étalé, hanté ?
Un archipel resta à côté.
L’océan, ce prurit, se hâta,
L’eau charria cent potes,
Et plus encore. Haïr cata ?
Accepter ? L’eau, trahison,
(ah !) constipa le réacteur
Au crépit alors étanche.
TEPCO, lui, resta acharné ;
Holà ! pancarte sécurité !
La torche saute, caprine,
L’atroce peur hante, scia
Réacteurs à plein cahot.
Acte sur ton cahier pâle :
« Par échec, autorisent la
Catastrophe nucléaire ! »
EC
NB : poème anagrammatique. Chaque vers est formé des lettres de l'expression «catastrophe nucléaire», mais rangées dans un ordre différent. Milexcuz pour le «crépit», orthographié ici par analogie avec «enduit».
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RépondreSupprimerQuand les mots manquent !