
28 janvier 2009
e-timbre

27 janvier 2009
Numericable
Je peste contre mon FAI Numéricable : une connexion intermittente et d'une lenteur de limace depuis ce matin. Impossible de charger une photo sur ce blog, impossible d'envoyer des fichiers à mes clients. Au téléphone, un type tout sauf aimable, me récitant avec un accent inidentifiable et un débit accéléré des formules toutes faites qu'il doit lire sur son écran, ne répond à mes questions qu'en répétant ces formules, parmi lesquelles la promesse d'un SMS censé m'avertir lorsque la panne sera réparée. Tu parles, c'est déjà ce qu'on m'avait répondu la semaine dernière, et pas plus de SMS que de beurre en broche. Tout ce que je réussis à comprendre, c'est que je ne suis pas la seule à avoir appelé. C'est fou ce que ça me rassure.
Et là, suspense, est-ce que ce petit texte, au moins, va passer ???
Et là, suspense, est-ce que ce petit texte, au moins, va passer ???
24 janvier 2009
Encyclopédie contextuelle sur le New York Times

Je suis Ouriel Ohayon sur Twitter, et c'est très fatigant parce qu'il n'arrête pas une seconde, il fait quinze posts quand mes autres «suivis» n'en font qu'un seul petit malheureux. Ceci dit, je n'aurais jamais remarqué sans lui la fonctionnalité géniale des textes du New York Times.
Prenez un article, par exemple celui-ci sur Obama. Double cliquez sur un mot, ici «Congress». Une bulle avec un point d'interrogation apparaît. Cliquez dessus, et c'est une pop-up qui s'affiche, avec la définition du mot et sa prononciation, plus l'article de l'encyclopédie de Columbia sur le Congrès américain, son histoire etc.
Je sens que je vais lire encore plus le New York Times que je ne le faisais jusque là !
Prenez un article, par exemple celui-ci sur Obama. Double cliquez sur un mot, ici «Congress». Une bulle avec un point d'interrogation apparaît. Cliquez dessus, et c'est une pop-up qui s'affiche, avec la définition du mot et sa prononciation, plus l'article de l'encyclopédie de Columbia sur le Congrès américain, son histoire etc.
Je sens que je vais lire encore plus le New York Times que je ne le faisais jusque là !
20 janvier 2009
L'effet Kosciusko-Morizet

La grande salle du cabinet Baker et McKenzie était trop petite pour contenir toutes les personnes subitement désireuses d’assister aux vœux de l’ACSEL, devenue depuis peu l’Association de l’Économie numérique. Nouveau logo, nouveau site Web, nouvelle vidéo (réalisée par Videomark), mais surtout nouveau président, dont la caractéristique principale n’est plus seulement d’être le fondateur et le patron de Price Minister, mais aussi — et pour certains surtout — d’être le frère de Nathalie Kosciusko-Morizet.
Nous nous sommes donc retrouvés à quelques uns, les vieux de la vieille, à l’extérieur de la salle pour papoter de tout et de rien, et par exemple des résistances bien françaises aux systèmes de paiement direct — sans carte bancaire — tels qu’ils se pratiquent au Japon et dans les pays nordiques.
À C., qui faisait remarquer à juste titre que les résistances des banques étaient exactement les mêmes du temps du Minitel, A., vieux routard du paiement en ligne, la moustache fraîchement rasée, a répondu par un proverbe brésilien. « C’est toujours la même merde, il n’y a que les mouches qui changent ».
Nous nous sommes donc retrouvés à quelques uns, les vieux de la vieille, à l’extérieur de la salle pour papoter de tout et de rien, et par exemple des résistances bien françaises aux systèmes de paiement direct — sans carte bancaire — tels qu’ils se pratiquent au Japon et dans les pays nordiques.
À C., qui faisait remarquer à juste titre que les résistances des banques étaient exactement les mêmes du temps du Minitel, A., vieux routard du paiement en ligne, la moustache fraîchement rasée, a répondu par un proverbe brésilien. « C’est toujours la même merde, il n’y a que les mouches qui changent ».
Au cocktail qui a suivi, notre héros Billauman toujours en forme nous a montré les photos de Billaut 2.0 (son petit fils), et a affirmé sa foi dans la France d'en bas, seule capable selon lui de rebooster l'économie, grâce au nouveau statut d'auto-entrepreneur.
17 janvier 2009
anagrammes "sur le nom d'une amie"
Sur le nom d’une amie
Muse à demi luronne,
Manon sueur de miel,
Almée d’un monsieur...
Leur minou se damne.
Son mal demeure uni
Sur la moue indemne.
Même un dinar soule
Le rein ému d’un maso.
Mimons un duel aéré,
Miaulons une merde
Sur la nuée immonde !
Le démuni nous arme.
L’amour se mue en nid.
Il émane d’un remous,
Il a un nom démesuré.
Muse à demi luronne,
Manon sueur de miel,
Almée d’un monsieur...
Leur minou se damne.
Son mal demeure uni
Sur la moue indemne.
Même un dinar soule
Le rein ému d’un maso.
Mimons un duel aéré,
Miaulons une merde
Sur la nuée immonde !
Le démuni nous arme.
L’amour se mue en nid.
Il émane d’un remous,
Il a un nom démesuré.
05 janvier 2009
Beuh... onéreuse année 2009

Et c'est reparti pour un tour : bon tour ou mauvais tour, c'est à peu près la même chose, disait Victor Hugo. N'empêche, à chacun son tour. Parmi les bons que je vous souhaite, il y a un tour du monde, un tour du propriétaire, le quart de tour d'un bon départ, des tours de phrases et des tours d'esprit, le tour de main pour vos poèmes voire un ou deux tours de force, quelques tours de valse, et suffisamment de tours dans vos sacs. Vous éviterez en revanche le tour de rein pernicieux, les centimètres en plus au tour de taille, le vilain double tour de la trouille et les méchants tours de vis. Je ne parle même pas du Tour de France.
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