Dans son édition d'hier soir, à propos de la visite de Sarko en Algérie, le Monde titrait « le poids des vieilles rancœurs ». Cela m'a inspiré cette réflexion profonde (qui n'a rien à voir avec l'Algérie) :
Quand l'été est pourri, même le roi des campeurs connaît le poids des rancœurs.
Pour le campeur mieux vaut un été beau et chaud.
RépondreSupprimerAlbin
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