06 novembre 2008

Question de mémoire


Sur BFM TV, Ruth Elkrieff parle à l'instant de Colin Powell — qui s’est converti à Obama et salue son élection avec des larmes de joie — comme de quelqu’un qui incarnerait l’ouverture.
— «Il incarne surtout le fait que le ridicule ne tue pas», dit M. qui se souvient de ce qu'avait dit en 2003 ce personnage à propos de l'Irak, déclarations qu'on peut retrouver ici. Les regrets qu'il a exprimés en 2005 y changent-ils quelque chose ?

2 commentaires:

  1. Evidemment, on peut s'interroger sur la capacité du monsieur à prédire l'avenir.

    D'un autre côté, c'est quelque chose que je respecte chez les Américains et qui nous manque cruellement, à nous, Français: la capacité à reconnaître publiquement une erreur. Il y faut aussi du courage.

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  2. C'est précisément ce que j'ai répondu à M., mais M. est un vrai sceptique.

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